Chapitre 2170
Couvrant son visage tout gonflé, il a demandé avec étonnement:
– M. Christian… pourquoi vous me frappez? Frappez ce salaud!
Christian tremblait de colère et a balbutié avec effroi :
Tu… tu veux mourir hein? Comment oses-tu traiter Maître Clément du salaud! Tu es vraiment fatigué de vivre,
salaud!
Cela dit, il a ordonné à ses subordonnés :
– Merde, battez-le à mort !
Les subordonnés de Christian avaient quand même entendu parler du nom de Maître Clément bien qu’ils n’aient
jamais rencontré Clément.
De toute façon, Clovis ne cessait de le mentionner comme son bienfaiteur. Comme Clovis était le Parrain du monde
souterrain dans la Cité J, son bienfaiteur devrait naturellement être respecté par tout le monde souterrain.
A vrai dire, ce Constain avait de la malchance d’avoir provoqué Maître Clément. Mais c’était plutôt son arrogance
aveugle qui était à blâmer.
Ainsi, tous les subordonnés se sont précipités vers Constain et l’ont battu au sol. Ce dernier n’a cessé de crier en
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtpleurant et gémissant:
1. Christian, pardonnez-moi ! Je ne savais pas que Maître Clément était votre ami, sinon, je n’aurais jamais dû
rendre les choses difficiles pour lui! Epargnez-moi s’il vous plaît !
– Te pardonner? Christian s’est moqué, va te faire foutre ! je t’épargne, qui m’épargne alors ? Si Maître
Clément me blâme, il ne me laissera pas tranquille; même si Maître Clément ne me blâme pas, M. Clovis me
donnera une leçon lorsqu’il apprendra cette affaire. Tout est de ta faute de m’avoir mis dans une telle situation
!
–
– M. Christian, excusez-moi s’il vous plaît, je ne le ferai plus… a pleuré Constain, puis s’est retourné vers
Clément pour le supplier, Maître Clément, épargnez-moi s’il vous plaît !
Clément a souri à Christian :
– Allez, Christian, arrêtez vos subordonnés.
A l’écouter, celui-ci s’est dépêché de crier :
– Arrêtez, les gars, Maître Clément a quelque chose à dire !
Ceux qui étaient en train de battre Constain ont alors arrêté leur mouvement tout de
suite, ont reculé en arrière, attendant solennellement le discours de Clément, tandis que Constain, tout
démoli, était couvert de bleus et d’égratignures.
Clarisse était si stupéfaite qu’elle regardait fixement Constain, ne sachant pas quoi
faire.
Christian s’est incliné vers Clément et lui a dit avec beaucoup de respect:
Maître Clément, on est à votre ordre…
Clément a hoché la tête avant de déclarer :
Christian, je tiens à te rappeler qu’on se trouve actuellement dans un monde civilisé hein, il ne faut pas abuser
de la violence pour résoudre les problèmes. Au moins, cela aura un impact négatif sur le public et le mettra
dans une atmosphère horrible! Christian a été abasourdi un instant, puis a baissé la tête en disant avec honte :
Maître Clément, vous avez raison. Je n’aurais pas dû exercer la force et faire peur
aux gens…
Ouais, retiens-le au cœur, puis Clément a regardé Constain, tu es Constain, le président de l’Entreprise
Chanbelle, c’est ça ? xo.com fast update
Avec du sang au coin de la bouche, Constain a répondu faiblement :
– Oui, c’est moi… Maître Clément, j’avais tort de ne pas vous avoir offensé, veuillez me pardonner s’il vous
plaît…
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmClément a agité la main et a dit sérieusement:
– Oh ! La raison ou le tort ne compte pas dans le monde, seul des intérêts comptent.
Cela dit, il a pointé du doigt vers Clarisse qui avait l’air tout pâle et a dit avec un
sourire:
– Euh bien, avant ton arrivée, j’ai déjà discuté avec Clarisse que j’avais prêté à ton entreprise 50 000 euros il y
a environ trente minutes, et que le taux d’intérêt est 50 000 euros par minute. Maintenant que trente minutes
se sont écoulées, l’intérêt est donc 1500 000 euros. Avec le principal, le total est de 1550 000 d’euros. Quand
règles-tu cela alors?
Constain était sous le choc. Il a dit en tremblant:
–
Maître Clément… votre… votre taux d’intérêt est trop élevé… Cinq cent mille par minute, c’est trop, et ça me
tuera…
– Haha, a souri Clément, ton entreprise fait fortune sur l’intimidation et l’oppression, et
–
moi, je gagne de l’argent sur l’usure. Puisque chacun a son propre savoir-faire, on doit se respecter, qu’en
dirais-tu ?