Chapitre 2087
A l’origine, Frébric et Cédric étaient déjà terrifiés, et lorsqu’ils ont appris que Clément allait faire emmener Phillipe,
ils ont tremblé de peur.
A ce moment-là, le père et le fils se disaient :
<< Le vieux n’a pas déjà souffrait de la maladie d’Alzheimer? Il ne peut même pas s’occuper de lui-même, alors
pourquoi Clément l’a-t-il fait venir ?>>
En y réfléchissant, Frébric se désespérait un peu :
<< Est-ce que Phillipe aurait récupéré ? Alors mon plan échouera !»
C’était alors que Dominique accompagnait Phillipe à l’intérieur.
Phillipe avait l’air en pleine forme, il n’avait pas du tout l’air d’un malade d’Alzheimer.
Frébric et Cédric paniquaient encore plus, ils ne comprenaient pas comment Phillipe a pu se rétablir aussi vite alors
qu’il était encore à l’hôpital ce matin, incontinent!
En entrant dans la salle avec l’aide de Dominique, Philippe a lancé un regard noir à Frébric et Cédric et a dit avec
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– Salauds ! Vous êtes allés trop loin tous les deux ! Vous avez assassiné Gisèle et vous m’avez drogué, avez-vous
encore un peu d’humanité ?
Frébric a marché jusqu’à Phillipe à genoux et a crié :
Papa, j’ai eu tort, pardonne-moi!
Philippe a grondé :
–
– Te pardonner? Quelles choses que tu as faites n’ont pas enfreint les règles de notre famille ?
Frébric s’est écrié :
– Papa, on m’a forcé à le faire !
– Tu racontes n’importe quoi!
Phillipe a donné une gifle à Frébric!
Frébric s’est couvert le visage et a crié :
Papa ! Je suis ton fils ! Je suis ton fils aîné mais pourquoi as-tu laissé Gisèle à la tête des Poincaré? Si j’étais le chef
des Poincaré, je n’aurais pas fait ces choses-là !
Phillipe était tellement en colère qu’il a giflé à nouveau Frébric:
– Tu cherches encore des excuses, mais sans l’aide de Maître Clément cette fois-ci, Gisèle et moi aurions été tués
par toi ! Je ne te laisserai pas partir!
Cédric a pleuré et a dit à Phillipe :
Grand-père, j’ai tout fait sur les instructions de mon père, il m’a obligé à le faire… S’il te plaît, comme je suis ton
petit-fils, épargne-moi cette fois…
Phillipe a montré Cédric du doigt et a dit avec colère :
– Comment moi, le chef des Poincaré, j’ai pu avoir un petit-fils comme toi!
En disant cela, Philippe a regardé le père et le fils et a dit d’une voix froide :
–
– Vous deux, avez commis un tel crime, je dois vous punir selon les règles de la famille !
Phillipe a regardé Dominique qui était debout à ses côtés, en demandant,
– Dominique, tu as travaillé aux Poincaré depuis de nombreuses années, que faut-il faire de ces deux-là selon les
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmrègles de la famille Poincaré ?!
Dominique a dit d’un ton haut:
Selon les règles de la famille Poincaré, celui qui tué son propre parent sera puni de mort!
Cédric a failli s’évanouir de peur et s’est écrié :
–
Grand-père ! Nous sommes dans une société de droit, pas dans la société féodale de l’époque ! Tu ne peux pas
nous tuer ! Si tu nous tues, tu devras payer cher toi-même !
Frébric a étouffé des sanglots:
–
Papa, si tu ne veux pas nous épargner, envoie-nous à la justice! Que la justice nous juge pour nos
crimes, peu importe le nombre d’années de prison qu’elle nous infligera, nous l’accepterons…
Frébric savait au fond de lui que, selon la loi, lui et son fils ne pourraient pas non plus être condamnés à
mort.
Après tout, Frébric et Cédric, ils n’ont tué personne eux-mêmes; les vrais tueurs étaient ceux que Shigekazu a
employés au Japon.