Chapitre 1413
A ce moment-là, tout le monde était frappé de stupeur !
Non seulement Bitoric, Sonia et Clothilde, mais aussi Ernest et Marian, qui venaient de le provoquer, étaient muets
d’horreur.
Le Dieu de la guerre et le Chef du Groupe mercenaire de la Frontière nord étaient vraiment célèbres à la Cité Y. Ils
ont tué d’innombrables personnes et ils n’ont jamais subi de défaite. Les gens étaient horrifiés en entendant leur
nom.
Cependant, ils ne pouvaient pas recevoir un coup de Clément.
Généralement, les gens se frappaient mutuellement.
Dans un combat des maîtres, les gens savaient s’esquiver et trouver l’opportunité de donner des coups de pied.
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtMais Clément a gagné les deux gardes du corps avec un seul coup. Cela incitait à estimer sa force !
Clément a négligé leur stupeur. Il a regardé avec mépris les deux personnes en disant d’un ton froid:
– Je vous donne une chance de sauver votre vie. Agenouillez-vous et appelez-moi << papa » pour demander merci.
Si vous le faites bien, je vous laisse en vie. C’est compris ?
Les deux hommes ont fixé Clément d’un regard indigné. Même s’ils ne pouvaient pas prononcer un mot, il était
facile de remarquer leur ressentiment et leur défi sur leur visage.
Clément a ricané en hochant la tête :
– C’est intéressant, le Dieu de la guerre et le Chef du Groupe mercenaire de la Frontière nord. Vous êtes
incompétents, mais vous avez un ‘mauvais caractère. Bon, soyez gentils dans la prochaine vie !
Ceci dit, il a augmenté la force. Les deux ont senti l’approche de la mort.
Bien qu’ils aient tué beaucoup de gens, ils étaient avides de richesse et de confort. Sinon, ils ne travaillaient pas
pour Ernest. Par conséquent, lorsque la mort s’est progressivement approchée, ils ont ressenti la panique et la
peur.
Ils ne voulaient pas mourir comme ça. Du coup, ils ne se contentaient pas de ce qu’ils ont acquis. Ils ne se sont pas
réjouis de la vie.
Ils ont travaillé des années à la frontière. Ils ont surmonté des difficultés pour profiter de la vie.
Cependant, ils ont profité seulement quelques années de bonheur. Cela ne valait pas la peine de mourir pour rien !
Puis, Jémi dont le surnom était le Dieu de la guerre a crié avec toute sa force:
– Papa…papa…
Puisqu’il était étranglé par Clément, sa voix était presque inaudible. Mais sa détermination d’implorer la pitié était
évidente.
Clément a hoché la tête avec satisfaction. Il a lâché sa main en ricanant:
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Plus fort. Je ne t’entends pas.
Les yeux de Jémi étaient remplis de larmes. Il a dit d’une voix enrouée:
– Papa, je vous prie…
Clément a répondu en hochant la tête :
– Bon fils. Puisque tu es si sincère, je vais te pardonner cette fois.
Jémi a poussé un soupir de soulagement. A ce moment-là, Bestien dont le surnom était le Chef du Groupe
mercenaire de la Frontière nord, qui était sur le point de s’évanouir, a pris en compte ce qui s’est passé. Il a crié
désespérément.
Bien sûr, il ne pouvait pas non plus prononcer des mots. Mais on a vu sa bouche bouger.
Clément savait qu’il voulait mendier pour sa vie. Ainsi, il a lâché sa main droite en ricanant:
Je te donne la chance.