Chapitre 4141 A neuf heures au matin, Clément est arrivé a Boracay de New York par hélicoptére.
L’hélicoptére est arrivé directement a la vilia luxueuse louée par Quentin, alors que Quentin est sorti avec Hiroaki ainsi que Isoshi pour accueillir Clément, En voyant Clément, Hiroaki était extrémement nerveux et il s'est précipité a s'avancer vers Clément pour lui dire en s’inclinant: Maitre Clément...je suis Hiroaki, responsable de la génération actuelle de la famille Banosa, auparavant mon fils ne savait pas que vous étiez a New York et vous a offensé, veuillez nous excuser ! Clément a hoché la téte avant de dire calmement : = Puisque vous vous étiez rendus a la Montagne Huet avec Mile lyo pour m’aider, je passe I’éponge sur votre faute commise. Mais a partir de maintenant, la famille Banosa doit suivre absolument mes ordonnances et je trouverai un trés bon avenir pour vous aux Etats-Unis, ne pensez plus a revenir au Japon.
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt- Qui, oui...a répondu Hiroaki en hochant fidélement la téte.
Apres avoir enregistré la vidéo dans laquelle il avouait qu'il avait mené une attaque terroriste, il savait qu'il ne pourrait plus revenir au Japon. Il ne savait pas que serait I’avenir des Banosa outre que suivre les ordonnances de Clément.
Apres tout, dans un autre manoir a quelques centaines de métres de la villa, tous les membres des Brunelles étaient en train de chercher les ninjas Banosa par tous les moyens, mais ils n’arrivaient jamais a imaginer qu’ils étaient juste a leur coté.
Satisfait de I'attitude de Hiroaki, Clément a hoché la Letepayant de dire a Quentin : - Quentin, comment sont les deux mecs? Quentin a dit: - M. Clément, ils sont pendus au sous-sol pour un soir.
Clément,a hoché la téte avant de dire calmement : - Allons-y pour voir.
Quand les quatre personnes sont arrivées au sous-sol, Alain et Stanisco étaient épuisés. Suspendues en I'air sans rien manger ou boire, les deux étaient a bout de souffle. C’était surtout le cas pour Alain, parce qu'il était arrivé plus tot et suspendu pour plus longtemps, ses mains étaient décalées par rapport au poiet il souffrait d'une grande douleur.
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmEn voyant Clément, les deux tremblaient de peur. Bien qu’Alain sache que Clément n’allait pas I'épargner, il a quand mdit en pleurant : - M. Clément...veuillez m’'épargner, quelle que soit la quantité de I'argent que vous voulez, je demanderai a ma famille de vous en donner... Clément a secoué la main: Bon, Alain, ce n'est pas la peine de dire ce genre de chose, ne gaspille pas ta force physique.
Alain suppliait toujours en pleurant : - M. Clément...je vous en supplie...dites-moi combien d'argent vous voulez...les Brunelle vont vous satisfaire ! Clément a dit froidement : - Alain, a partir de maintenant, chaque fois quand tu demandes grace, je ferai enlever une partie de ton corps, jusqu’a ce que tu perdes les bras et les jambes ! Effrayé, Alain n’avait pas d'autre choix que de fermer sa gueule sagement.
Clément s'est alors tourné vers Stanisco en demandant froidement : Tu es Stanisco? Tu sais que je t’ai cherché pendant longtemps? Frissonnant de peur, Stanisco a demandé avec nervosité: - Qui...qui étes-vous...il semble que je ne vous aie pas offensé...
Clément a dit en souriant: - C'est vrai que tu ne m’as pas offensé, mais je t'ai offensé.
Stanisco a demandé d'un air perplexe : - Désolé...je...je ne comprends pas....
Clément le regardait et a dit avec un Iéger sourire : - J'ai tué ton frére Jacdin! A ses mots, Stanisco restait bouche bée ! Il savait que la chose qu'il craignait le plus avait eu lieu !