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HOMME INACCESSIBLE

Chapter 2542
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Chapitre 2542

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Au bout de quelques minutes, Clément est arrivé au–dessus de l’aéroport de la Cité J en hélicoptère et en baissant

les yeux, il a vu que le Concorde était immobilisé au bout de la piste de l’aéroport.

À ce moment, le pilote a dit :

Maître Clément, M. Édmond, je viens juste d’être averti que le Concorde est déjà prêt à décoller, alors nous

pouvons atterrir directement à côté du Concorde pour y embarquer !

Clément a hoché la tête et a dit :

– D’accord!

En ce moment, Clément était plus convaincu que la cause initiale du succès des grandes familles était dans leur

fort soutien logistique.

Pour les gens ordinaires, il fallait au moins 24 heures de vol pour aller de la Cité J à la Syrie. Mais avec le Concorde,

les riches pouvaient réduire le temps de vol à seulement 6 heures.

En général, ce décalage de 18 heures ne présentait pas un grand intérêt. Mais devant les événements

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extrêmement importants, 18 heures, c’était un laps de temps qui permettait même de tout transformer. À la

descente de l’hélicoptère, Clément a soudain reçu un coup de téléphone d’Hervé.

Dès que le contact a été établi, Hervé a dit, tout paniqué:

– Clément… quelque chose de fâcheux est arrivé à Axelle…

Clément a demandé tout agité:

1. Hervé, prends ton temps et parle lentement, qu’est–il arrivé à Axelle ?

Hervé a répondu avec angoisse:

Aux dernières nouvelles, l’opération militaire des forces gouvernementales a manqué aujourd’hui ! Leurs troupes

envoyées ont été assiégées par les forces d’opposition, les morts et les blessés se comptent par milliers, et une

centaine de personnes ont été faites prisonniers, dont huit jeunes américains qui comprennent Axelle…

– Quoi ?! s’est écrié Clément, les nouvelles sont exactes?

Hervé a dit d’une voix nerveuse :

– Oui… maintenant les forces gouvernementales se préparent à lancer des représailles militaires, mais les

oppositions ont demandé à l’ambassade des États-Unis une rançon de 80 millions de dollars, en déclarant qu’ils

tueront les huit jeunes Américains si l’ambassade des États–Unis refuse de payer la rançon !

Clément a demandé à la hâte :

– Est–ce que l’ambassade des États–Unis s’est prononcée ?

Hervé s’est lamenté:

Oui, leur porte–parole a condamné fortement la brutalité des oppositions, et a déclaré qu’ils ne céderaient

absolument pas au chantage des oppositions et qu’ils lanceraient aussi des représailles militaires si les oppositions

ne relâchent pas les otages…

En l’entendant, Clément a dit d’un ton grave:

-Si c’est le cas, cela pourrait irriter les oppositions.

Hervé a dit en grinçant les dents de colère :

Chapitre 2542

– Oui, mon ami a des connaissances dans l’ambassade des États–Unis, et il m’a dévoilé que l’ambassade des États–

Unis ne s’inquiètent nullement de ces huit jeunes!

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– De plus, l’ambassade des États–Unis n’a pas du tout envie de payer la rançon ! Ils ont fait beaucoup d’ennemis au

Moyen–Orient depuis toutes ces années, donc s’ils font un compromis cette fois–ci, les pareilles choses se

reproduisent sans fin à l’avenir !

Sur ce, Hervé a poursuivi en étouffant de sanglots:

– Les oppositions, exaspérées par l’attitude de l’ambassade des États–Unis, ont donné à la partie américaine 12

heures pour réfléchir, et douze heures plus tard, elles tueront l’un des huit jeunes Américains toutes les demi–

heures, il semble qu’Axelle n’échappe vraiment pas à la mort cette fois–ci…. Clément s’est hâté de le consoler :

1. Hervé, ne t’inquiète pas trop…

Hervé a dit en pleurant :

Comment ne m’inquiéterais–je pas pour Axelle… je meurs véritablement d’inquiétude!

– Je m’en veux tellement de la naturaliser américaine… elle est née aux États–Unis, alors naturellement elle s’est

fait naturaliser américaine… si elle était un habitant du Pays C, cela ferait probablement une grande différence

cette fois–ci… quel dommage…

Clément a dit à la hâte :

– M. Hervé, ne sois pas si négatif ! Je pars tout de suite pour la Syrie, et je vais certainement trouver le moyen de

sauver ta fille ! La seule chose à faire maintenant pour toi, c’est d’attendre de mes nouvelles à la maison !