Chapitre 1662
Kagetoki a réservé à long terme dans ce club une loge fixe et privée, dans laquelle il avait souvent des rendez–vous
avec les starlettes japonaises.
En ce moment, trois Rolls–Royce étaient en train de se rendre à Shibuya en transportant Kagetoki, qui était
tellement impatient de passer une très bonne nuit avec la chanteuse.
Mais lorsque les trois Rolls–Royce traversaient un passage souterrain, un camion qui roulait normalement à l’avant,
a brusquement freiné en travers de la route, barrant le passage aux trois Rolls–Royce.
Tout de suite après, plusieurs voitures noires se sont également élancées derrière les trois Rolls–Royce pour leur
couper la retraite. Conscients du danger, les 8 gardes du corps de Kagetoki ont aussitôt sorti leurs révolvers pour
protéger Kagetoki, mais une grande foule d’hommes armés en noir ont soudainement sauté des voitures noires !
Ces hommes avaient tous des fusils automatiques ou des fusils mitrailleurs miniatures, qui étaient beaucoup plus
puissants que les révolvers des gardes du corps de Kagetoki, donc très vite, ces derniers ont tous.été fusillés.
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtÀ cette vue, Kagetoki, qui était assis dans la Rolls–Royce au milieu, a frissonné de peur.
Dans sa voiture, il n’y avait qu’un chauffeur et qu’un assistant, qui étaient tout à fait hors de combat.
Mais la partie adverse était non seulement en grand nombre, mais aussi munie des armes très puissantes!
Kagetoki a aussitôt téléphoné à son père et a dit, paniqué:
– Au secours ! Papa, je suis entouré de tueurs ! Viens me sauver !
Batano a demandé tout agité :
– N’es–tu pas à la maison ?! D’où viennent les tueurs ?!
Kagetoki a crié en pleurant :
– Papa, je suis dehors… sur le chemin de Shibuya… les tueurs nous ont soudainement entourés et attaqués, et mes
gardes du corps sont morts… ils vont me tuer, papa, je ne veux pas mourir, sauve–moi….. !
Entendant cela, Batano était dévoré d’anxiété et s’est écrié :
– Dis–leur que je peux leur donner autant d’argent qu’ils veulent, tant qu’ils t’épargnent la vie !
À ce moment, les hommes en noir ont déjà encerclé la Rolls–Royce dans laquelle se trouvait Kagetoki.
Kagetoki s’est empressé de crier au dehors:
–
– S’il vous plaît, ne me tuez pas ! Mon père dit qu’il vous donneront autant d’argent que vous voulez !
L’homme en tête a dit avec un sourire malice:
– L’argent? Nous, les Nakayama, nous en foutons hein ! Ce que nous voulons, c’est la vie de tous les membres de la
famille Umezawa ! Eh bien, nous te tuons maintenant, et peu de temps après, ton père et toute ta famille vous
accompagneront aussi !
Entendant cela, Kagetoki était tout pâle de peur et a crié frénétiquement:
–
– Je vous prie de ne pas me tuer, je suis encore jeune… je ne veux pas mourir…
Batano a également hurlé de toutes ses forces au téléphone :
– Épargnez mon fils ! Il est innocent!
–
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmL’homme en tête a dit en ricanant:
–
– Hein? M. Batano est encore en ligne ? Ainsi, M. Batano, écoute bien les cris désespérés que poussera ton fils en
mourant!
Cela dit, l’homme a directement cassé le verre de Rolls–Royce avec son fusil. Mais quand il a braqué son fusil sur
Kagetoki, il l’a soudainement retiré en voyant le visage baigné de larmes de Kagetoki.
Kagetoki pensait que l’homme a changé d’avis et s’est exclamé avec enthousiasme :
– Combien voulez–vous, monsieur ? Mon père vous le donnera tout de suite!
En l’entendant, Batano croyait aussi que la situation a pris une tournure favorable et a dit à la hâte au téléphone :
– Oui! Je peux vous donner d’abord cent millions d’euros maintenant!
L’homme en tête a ricané et a dit d’un air glacial:
Vous vous trompez hein ! Je veux juste changer de jeu !
Sur ce, il s’est tourné vers ses hommes et a dit froidement :
Sortez deux barils d’essence du coffre et mettez le feu à cette Rolls–Royce !