Chapitre 4279 Le retrait de I'équipe des forces spéciales a officiellement m arqueé I'échec de cette opération d'arrestation. Les médias attendaient tous que le porte— parole de la police vienne expliquer la situation. Anderson, visiblement beaucoup plus vieux, s'est avancée vers les journalistes présents, arm €s de micros et de caméras, qui se pressaient pour lui pose r leurs questions. Il a levé les mains pour demander le silence, puis a dit: Désolé d'avoir pris votre temps ainsi que celui du Groupe Brunelle. Cette fois— ci, en raison d'informations erronées et de mauvaises décis ions, notre opération d'arrestation a échoué. L'équipe des f orces. spéciales s'est retirée et le Groupe Brunelle pourra b ient6t reprendre ses activités normales.
Les journalistes voulaient poser plus de questions, mais il a continué : Je sais ce que vous voulez savoir. C'est surtout de ma faut
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇte. Récemment, j'ai eu des revers physiques et mentaux im portants, ajoutés a mon age avance, je ne suis vraiment pas adapté a gérer une affaire aussi importante. C'est pour quoi j'ai déja démissionné auprés du maire et demandé un e retraite anticipée.
Les journalistes étalent stupéfaits. Personne n’aurait pensé que ce célebre policier prendrait soudainement une telle décision. Anderson, Fair honteux, a poursuivi : Concernant les récents événements a New York, je tiens a exprimer mes plus sincéres présenter mes excuses a New York et au peuple américain! excuses. Je n'ai pas pu prévoir ni empécher ces crimes a t emps. C'est de ma faute en tant que policier. Je veux Apres cela, Anderson s'est incliné profondément devant les caméras. Sans attendre les questions des journalistes, il s’ est retiré en voiture, escorté par plusieurs policiers.
Peu de temps apres, la nouvelle de la retraite anticipée d'A
nderson a fait les gros titres des principaux médias.
Clément, qui regardait les répétitions de Clothilde, a égale ment appris cette nouvelle. Son visage a affiché une légére surprise, mais il e st rapidement revenu a la normale.
Clément navait aucune rancune envers ce policier. Au fond de lui, il ne voulait pas qu’Anderson prenne sa retraite de ¢ ette maniére. Mais le cas d’Alain les avait mis en conflit, et i | fallait bien qu'un des deux assume les conséquences de ¢ et échec. Clément ne voulait évidemment pas que cela reto mbe sur lui. De plus, Anderson avait déja suivi les indices | usqu’au restaurant d’Adolphe. Maintenant qu'il prenait sa re traite anticipée, c'était une bonne chose selon Clément. Au moins, cela ne mettrait pas trop de pression sur Adolphe a l'avenir.
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmSur le chemin du retour au commissariat, Anderson a regu | "appel de son ami proche, Cormier. Une fois I'appel passé, celui-ci a demandé avec inquiétude -Anderson, qu'est— ce qui s'est passé exactement ? Tu as été utilisé comme bo
uc émissaire par les hautes spheres ? Quals, a soupiré Anderson, puis il a dit, I'attaque médiatiqu e est trop féroce, je n'ai pas d'autre choix que de sortir et d’ essayer de gagner un peu de 'sympathie en tant que vieux bonhomme. Cormier a poussé un soupir et a dit: En fait, tu n"aurais pas du te lancer a la poursuite de ces cri minels...
Anderson a dit avec résignation: Ce qui est fait est fait, il est trop tard pour en parler maintenant. Et puis, ma personnalité ne me permet pas de fermer les yeux sur ces crimes violents. Cormier a marmon né un accord et a demande : Et maintenant, quels sont tes plans ? Anderson a répondu : e commencerai officiellement ma retraite demain.
Je vais maintenant retourner au commissariat pour passer
les derniers jours de mon service, et je Puis il a pensé a quelque chose et a ajouté: Comment va ton pére maintenant ? Et si j'allais & Los Angeles lui rendre visite ? Il était vraiment malade cette fois— ci, mais je n'ai méme pas eu le temps d'aller le voir. Cela m e rend toujours honteux