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HOMME INACCESSIBLE

Chapter 4292
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Chapitre 4292 +10 Bonus > Margot a hoché la téte avant de ricaner : Quelle que méthode que tu utilises, tu dois demander aux policiers américains de le rapatrier! Ensuite tu diras a tous les chefs des bandes a la Cité G qu’Adolphe va bient6t revenir et la récompense de 30 millions dollars restera toujours valable ! Je donnerai 30 millions de dollars a celui qui aura tué Adolphe ! Le majords'est précipité a dire : - M. Margot, vous avez fait la promesse a Méverin, a Bitoric ainsi qu’a votre femme, si vous tuez vraiment Adolphe, est-ce que la conséquence sera grave...

- Quoi a craindre ? C'est vrai que j'ai promis a Méverin, Bitoric ainsi que ma fede I’épargner, mais la condition c'est qu'il ne peut pas retourner a la Cité G pour toute sa vie ! - S’il retourne, ms'il est involontaire en étant rapatrié par les Américains, ca ne change pas la vérité qu'il revient ! - Puisqu'il revient, personne ne peutblamer pour étre cruel! Le majorda eu I'esprit illuminé et a laché : - M. Margot, vous étes vraiment...génial ! En mtemps, a New York.

A midi oul tout le monde prenait le déjeuner, les affaires du restaurant d’Adolphe marchaient bien.

Adolphe et son subordonné étaient extrémement occupés.

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Mais lorsqu’ Adolphe travaillait, il ne cessait de regarder I'extérieur.

Parce qu'il constatait que depuis le matin d’aujourd’hui, il y avait toujours une voiture qui se garait en face de sa boutique.

Bien que ce soit quatre voitures différentes qui se garaient dans différentes positions, Adolphe pouvait constater que toutes les positions choisies permettaient aux chauffeurs de bien voir la porte de son restaurant.

Cela le rendait un peu paniqué.

Il savait que les policiers newyorkais I’'ont certainement pris pour cible.

Du coup, il ne pouvait pas s'empécher d'étre nerveux.

En constatant sa nervosité, son subordonné s'est immédiatement avancé vers lui pour demander: - M. Adolphe, qu’est-ce qui s'est passé ? - Rien, a répondu Adolphe en souriant avec embarras, occupe-toi de tes propres affaires, ce n'est pas la peine de t'inquiéter pour moi.

- Reposez-vous si vous étes fatigué, je peuxdébrouiller.

Adolphe a hoché la téte avec soulagement, mais il ne comptait pas partir tout de suite.

En ce moment, la voiture en face du restaurant s’est soudainement démarrée pour quitter le quartier.

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Adolphe aurait cru qu'une autre voiture viendrait pour prendre le relais, mais contrairement, aucune voiture susceptible se faisait voir aprés le départ de cette voiture.

Il a poussé un |éger soupir de soulagement.

Mais peu apres, il frongait de nouveau ses sourcils.

Apres avoir tiré ses bouts de manches et son tablier, il a dit a son subordonné: - Lambo, Mets la plaque de «< Fermeture » et fela porte aprés que tous les clients seront partis avant derejoindre en bas.

Ne sachant pas pourquoi il était si pressé, Lambo a immédiatement dit en hochant la téte : - D’accord, je le sais ! Sur ces mots, Adolphe est allé au sous-sol tout seul, il y avait deux chambres respectivement réservées a lui et a Lambo Apres étre rentré a sa chambre, Adolphe commencait d’abord a faire ses bagages, il n'a pris que les choses les plus significatives pour lui avant de les mettre dans la malle. A part cela, il n'a mpas pris les vétements a changer.

Au bout de trente minutes, Adolphe a rempli une malle de petite taille.

Lambo est descendu rapidement de I'escalier avant de dire a la porte : Tous les clients sont partis et j'ai fermé la porte.