Chapitre 1492
Lucile était folle de joie et elle a dit avec enthousiasme :
– Merci beaucoup, Clément !
Ce dernier a dit à la hâte :
– Attends un peu, je peux ne pas lui demander d’avaler le pendentif, mais il doit encore accepter d’autres punitions,
sinon j’ai peur qu’il ne puisse pas retenir la leçon.
Lucile a demandé à la hâte :
– Clément, quelle punition comptes–tu lui faire subir ? Ce ne sera pas plus grave que d’avaler le pendentif, n’est–ce
pas ?
– Non.
Clément a souri légèrement et a dit :
– Ne t’inquiète pas pour ça, ma punition sera une bonne chose pour lui.
Ce n’était qu’en ce moment–là que Lucile s’est sentie soulagée et elle a dit affectueusement :
– Clément, merci beaucoup, tu as pardonné mon frère pour moi, alors donne–moi une chance de te témoigner ma
profonde gratitude…
Clément a demandé avec surprise:
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt– Comment comptes–tu me témoigner ta profonde gratitude?
Lucile a cligné délibérément des yeux et a dit avec un sourire:
–
– Bien sûr que je te donnerai ma main, puis je donnerai naissance à un garçon pour toi, qu’en penses–tu ?
Clément a déclaré solennellement :
Arrête de dire des choses comme ça à l’avenir, je suis le mari de ta meilleure amie !
Lucile a hoché la tête et a dit sérieusement:
–
Je sais, vous êtes dans un faux mariage, vous êtes mari et femme uniquement sur le papier ! Vous ne faites rien de
ce qu’un couple doit faire. En fait, pour vous deux, la meilleure solution est de vous donner mutuellement la liberté.
Clément a secoué la tête et a dit avec un air impuissant :
―
– Je ne te dirais rien de plus sur ce sujet, sinon ça serait comme parler à un mur.
Après avoir fini de parler, il s’est retourné et est retourné dans la foule.
En le voyant revenir, tout le monde s’est écarté précipitamment et consciemment.
Phors s’est agenouillé par terre, attendant la sentence de Clément.
Clément a dit nonchalamment:
– Phors, par considération pour ta cousine Lucile, je peux te donner une chance cette fois, on verra si tu pourras la
saisir. Dès que Phors a entendu cela, il a éclaté en sanglots et a dit:
– M. Clément, merci pour votre gentillesse. Ne vous inquiétez pas, je saisirai pleinement cette opportunité et je ne
jouerais plus jamais les caïds avec vous !
Clément a déclaré :
– Les propos ne suffisent pas, cette fois, je peux ne pas t’obliger à avaler ce pendentif, mais tu dois au préalable me
montrer par des actions palpables que tu peux vraiment changer!
Phors a hoché précipitamment la tête et a dit :
-M. Clément, si vous avez des exigences, dites–les moi simplement, je le ferai certainement !
Clément a jeté un coup d’œil à Lucile et a déclaré :
– Ce n’est pas facile pour Lucile d’être seule à la Cité J, je veux donc que tu ailles à la Cité J pour être le chauffeur
de Lucile pendant un an, et pendant ce temps, tu dois avoir un comportement honnête et irréprochable à la Cité J,
si tu oses prendre la poudre d’escampette ou que tu ne fais pas ton travail correctement, ou que tu oses jouer au
caïd à la Cité J, je te ferai avaler une brique de mes propres mains!
Lorsque Phors a entendu cela, il s’est senti extrêmement déprimé.
⚫ La vie à la Cité Y est si bonne, comment la petite Cité J pourra–t–elle me satisfaire ? De plus, cet enfoiré de
Clément me
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmdemande d’y aller pour servir de chauffeur à ma cousine Lucile pendant un an, ce serait vraiment perdre la face
devant Clément, et si j’y vais vraiment, j’ai peur de ne même pas pouvoir jouer au caïd à l’avenir, ni baiser les filles.
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Cependant, quand il a pensé que s’il refusait d’y aller, il devrait avaler le pendentif et qu’Omer ne l’épargnerait
certainement pas, il ne pouvait que serrer les dents et accepter en disant :
– D’accord, M. Clément, je vais certainement suivre vos ordres …
Clément a hoché la tête de satisfaction et a dit :
– D’accord, bon tu peux partir après avoir fini ce repas, tu as un long voyage qui t’attend et il te faudra au moins 10
jours de route.
–
– Quoi ?
Phors a demandé avec surprise:
– M. Clément, le vol de la Cité Y à la Cité J n’est que de deux heures…
– Vol?
Clément a dit avec dédain :
-Te crois–tu encore digne de prendre l’avion ? Tu vas prendre un vélo, et tu n’es autorisé à dormir que dans une
tente en
cours de route, je t’interdis de passer aucune nuit dans un hôtel. Si tu oses prendre n’importe quel autre moyen de
transport, je te briserai tes deux pieds de mes propres mains!