Chapitre 1891
Le bruit des deux a immédiatement attiré l’attention de Kyan.
Il a regardé sa mère, et il était tellement stupéfait qu’il était bouche bée.
Au bout d’un moment, il a demandé à Clément :
Bon gendre, c’est… c’est ma mère n’est ce pas ? Ou je me trompe de personne?
Clément a souri légèrement et a dit:
– Kyan, tu as bien vu, c’est bel et bien elle.
Kyan s’est exclamé :
– Elle… pourquoi porte–t–elle un gilet ?! Est–elle venue ici pour travailler?
Clément a hoché la tête:
Cela devrait ressembler à ça.
Kyan a déclaré avec surprise:
– C’est invraisemblable. Mathieu n’a–t–il pas injecté des capitaux dans la famille Xavier ? Il leur a également acheté
une villa dans le Quartier Glitact. Donc normalement, leur famille devrait vivre une vie
heureuse maintenant !
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtKyan n’était pas au courant de ce qui s’était passé ces deux derniers jours, il ne savait même pas que Lorraine
avait été kidnappée par son propre frère aîné et son neveu, et il ne savait même pas que Mathieu avait renoncé à
une partie considérable des biens de sa famille Pelletier et qu’il était devenu un serviteur de Clovis.
Alors, bien sûr, il ne savait pas la situation de Mme Xavier et du reste de sa famille qui avait empiré ces deux
derniers jours.
Clément a déclaré en ce moment–là:
– J’ai entendu dire que Mathieu a voulu retirer son investissement.
–
Retirer ? s’est exclamé Kyan, ce Mathieu n’est vraiment pas fiable, comment a–t–il pu retirer son investissement
aussi soudainement ? Je crois qu’avec sa fortune, il ne devrait pas se soucier de cette somme qu’il avait investi
dans le Groupe Xavier n’est–ce pas ?
Clément a haussé les épaules et a dit avec un sourire:
Nous n’en savons rien.
Pendant qu’il parlait, il a vu Josette faire passer à nouveau la serpillière sous les pieds de la vieille dame avant de lui
dire avec dégoût:
– Pauvre vieille femme, dégage d’ici, tu m’empêches de faire mon travail.
Mme Xavier s’est étouffée et a dit :
– Josette, le travail qui m’a été confié par le superviseur du supermarché est de remettre des sacs en plastique aux
clients. Si je ne le fais pas bien, je serai renvoyée. Je t’en prie, ne me rends pas les choses difficiles, d’accord?
Josette a reniflé froidement et a dit :
Je te respectais beaucoup au début, mais tu devrais savoir ce que tu as fait toi–même à la fin, tu ne récoltes que la
tempête du vent que tu as semé !
Après avoir dit cela, Josette a ricané plusieurs fois, a serré les dents et a dit:
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Vieille femme, laisse–moi te dire, je suis certes une vieille femme rurale sans éducation, mais je suis digne! Je
n’aime surtout pas que les autres soient condescendants avec moi ! Je me fiche que tu m’aies frappée auparavant,
mais tu devais pas m’humilier!
Après avoir fini de parler, elle a rangé la serpillière, et lorsqu’elle est passée devant Mme Xavier, elle l’a heurtée
délibérément, projetant ainsi Mme Xavier sur l’étagère à côté d’elle, cette dernière se tordait de douleur après
cela.
Cependant, après que Josette l’a bousculée, elle a cessé de la harceler et elle est allée à d’autres endroits avec sa
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmserpillière.
Mme Xavier se tenait là où elle était, plus elle y pensait, plus elle se sentait lésée.
Elle a pensé tristement et avec colère dans son cœur
« J’avais mené une vie agréable dans la famille Xavier pendant tant d’années, je n’ai jamais eu à subir un tel
harcèlement de ma vie ! C’est vraiment inacceptable ! Ce qui est encore plus inacceptable, c’est que je suis si
vieille maintenant et je me permets de sortir faire ce genre de travail qui n’a aucune dignité ! Pendant toutes ces
années passées dans la famille Xavier, je n’ai jamais lavé une tasse de thé moi–même ! Maintenant, je dois fournir
des sacs en plastique à divers clients du supermarché pour leur permettre de gagner du temps ! Mais, si je ne fais
pas ce travail, que pourrais–je faire d’autre ? Si je ne fais pas ce travail, je n’aurais même pas de quoi me remplir le
ventre…>>
«Avec ce travail, je peux au moins gagner 10 euros tous les jours, ça me permet au moins de pouvoir m’acheter un
repas à midi… Si je ne le fais pas, ni Mireille ni Josette ne me donneront un morceau à manger… Ne vais–je pas
mourir de faim le moment venu ? >>
En pensant à cela, Mme Xavier s’est sentie extrêmement lésée et s’est tenue seule près de l’étagère en sanglotant.
Voyant cela, Kyan ne pouvait pas le supporter et il a dit à Clément :
Clément, je pense que ta grand–mère est vraiment pitoyable, elle ne viendrait certainement pas ce genre d’endroit
pour travailler à moins que ce ne soit absolument nécessaire…