Chapitre 1848
Elle a regardé Mme Xavier et a dit avec incrédulité :
Mme Xavier, tu nous as dit de foutre le camp d’ici ? Tu vas trop loin ! N’oublie pas que c’est nous trois qui t’avons
soignée et aidée au centre de détention, et que nous avons même donné une leçon à votre belle-fille, Lorraine
pour toi !
Mme Xavier a demandé :
Est-ce que je vous ai demandé de m’aider ? Quand ai-je a dit que je voulais que vous m’aidiez à donner une leçon à
Lorraine ? C’est vous qui avez pris l’initiative de battre Lorraine !
Josette était déçue:
Mme Xavier, tu n’as pas honte ! Nous t’avons tellement défendue au centre de détention, mais nous n’aurions
jamais pensé obtenir un tel résultat!
Mme Xavier a dit avec un visage calme :
Je suis désolée de te décevoir, mais c’est une leçon pour toi, tu dois savoir qui tu es à partir de maintenant, ne pas
penser à compter sur les autres !
Josette a serré les dents et a dit :
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtBen, très bien ! Je n’irai nulle part! Je vais voir ce que tu peux me faire !
Séraphine et Georgette ont dit en même temps:
– Oui! On ne partira pas !
Mme Xavier ne s’attendait pas à ce qu’elles insistent et leur a dit froidement :
Ne perdez pas mon temps, pour qui vous vous prenez ? Méritez-vous de vivre dans le Quartier Glitact ? Si même
vous pouviez vivre dans une villa aussi luxueuse, ce serait incroyable!
Mme Xavier a dit avec l’arrogance sur son visage,
–
Vous pensez vraiment que je suis vos amies parce que j’ai dû rester dans une prison à cette époque ?
Séraphine a grondé :
Mme Xavier ! Si tu nous fais chier, on te tabasse même si t’es âgée!
– Exactement !
Georgette a renchéri:
–
De la même façon qu’on a battu Lorraine, on peut te battre maintenant !
Mme Xavier a fait la moue:
—
Ben allez, si vous le faites, j’appellerai la police ! Je suis sûre que la police vous arrêtera !
Josette a serré elle aussi les poings, elle avait envie de frapper Mme Xavier tout de suite.
Mais elle a repensé à ce que l’on lui avant a dit avant de sortir et s’est dit :
« On nous a dit que nous sommes tous en liberté sous caution et que nous sommes libres pour l’instant, mais nous
devons respecter la loi et si nous causons des problèmes, nous serons probablement arrêtées à nouveau et punies
plus sévèrement !
A ce moment-là, elle a du réprimer sa colère et a dit d’une voix froide :
Mme Xavier, je vois bien que tu nous méprises, n’est-ce pas ? Puisque tu penses que nous ne sommes pas dignes
de rester ici, nous partirons.
Mme Xavier a acquiesce:
Vous feriez mieux de quitter maintenant ou j’appelle tout de suite la police!
Josette a serré les dents et a dit aux deux femmes à côté d’elle:
Allez, on est sorties tôt de la prison de toute façon, on n’a pas besoin de prendre la risque de se faire arrêter
encore une fois pour ça, alors faisons les valises et allons-y!
Bien que les deux autres femmes soient mécontentes, elles n’osaient pas dire quoi que ce soit à ce moment-là, de
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ressentiment.
Furieuses et perdues, toutes ces trois ont préparé leurs affaires et s’apprêteaint à quitter.
Mme Xavier, qui les surveillait, a vu qu’elles avaient tous rangé leurs affaires et, s’est pincé le nez avec la main, a
dit avec dégoût :
Oh, quelle puanteur ! Sortez et allez le plus loin possible, et la prochaine fois que vous viendrez ici, je serai la
première à appeler la police!
Josette a ressenti une grande humiliation, mais comme elle avait peur, elle n’a pu que serrer les dents et l’endurer,
elle a dit aux deux personnes à côté d’elle:
– Allons-y!
A ce moment-là, sept ou huit hommes forts sont soudain entrés et, voyant la situation, ont demandé :
Que se passe-t-il ? Où allez-vous tous les trois ?
Josette pensait qu’il s’agit d’hommes de Mme Xavier et a dit nerveusement:
– Ne nous pressez pas, on s’en va ! On s’en va !
L’homme en tête du groupe a dit froidement:
-Partir? M. Mathieu a dit que vous pouviez considérer cet endroit comme votre propre maison à partir
de maintenant.