Chapitre 1351
Frappée de stupeur et ne savant pas quoi dire, lyo a immédiatement passé son milktea à Clément.
Un peu étonné, celui-ci a accepté sans hésitation, d’autant plus qu’il n’avait rien bu pour aller chercher son beau-
père et qu’il avait vraiment soif maintenant.
Il a répondu en souriant :
– Merci beaucoup. J’ai vraiment soif.
Et puis, il a baissé la tête pour aspirer une grande gorgée de liquide avec la paille d’lyo avec force.
Au moment où la Japonaise a eu compris tout ce que se passait, elle s’est exclamée au fond du cœur :
<< Mon Dieu ! J’ai aussi pris cette boisson tout à l’heure ! »>
<< Bien que j’en aie juste pris un peu ! »
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt<< Oh là là, de cette façon, Clément et moi, nous avons un bisou indirect! >>
Clément, lui, ne savait pas qu’lyo avait aussi pris ce milktea. Il a demandé en buvant :
Mlle lyo, pourquoi tu viens me chercher si tard?
Mais, la fille japonaise avait extrêmement honte en ce moment.
Sévèrement élevée par sa famille depuis son enfance, cette fille rangée trouvait immoral d’être trop proche d’une
personne du sexe opposé.
Mais, aujourd’hui, c’était la première fois qu’elle avait un contact tellement étroit avec un homme ! Maintenant, elle
était aussi énervée que déconcertée.
En même temps, au fond du cœur, elle ressentait une certaine joie.
À ce moment-là, Clément lui a demandé à nouveau :
– Pourquoi tu es ici ?
– Moi, je … a répondu lyo d’une voix tremblante, je suis juste… je… passé par ici, non, je…
–
Ayant du mal à dire les mensonges, lyo s’est affolée une fois de plus face à la question de Clément. Celui-ci l’a
rassurée en souriant:
– Calme-toi. Tu peux être franche avec moi, d’accord?
lyo a dit en hochant légèrement la tête :
—
Moi, je… je suis là vous… vous voir, M. Clément. En effet, je crains de ne plus pouvoir vous revoir après le match.
Clément a redemandé avec curiosité:
– Pourquoi ça ? Tu vas rentrer au Japon une fois le match fini ?
–
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏm– Oui, a murmuré lyo, les yeux baissés, mon père m’a affrété un avion. Je vais retourner aussitôt après le match.
Clément a rétorqué d’un air perplexe :
– Au moins, tu es qualifiée pour la finale. Même si on yr défaisait à la fin, tu gagnerais la deuxième
–
place de cette fameuse compétition. Dans ce cas-là, tu ne veux pas participer à la cérémonie de remise des prix ?
lyo a répondu avec un rire jaune :
– Non. J’aurais dû avoir le plus de probabilité de remporter la finale. En cas de défaite, j’aurais honte de rester
assister à la cérémonie de remise des prix…
Clément a souri en disant :
– Mademoiselle, selon moi, si on fait de la boxe, ce n’est pas pour gagner les autres. A l’origine, on a créé ce sport
pour lutter contre personnes autres que soi-même.
– Lutter contre soi-même ? s’est ébahie la Japonaise, M. Clément, qu’est-ce que ça veut dire ?
Clément a expliqué paisiblement :
– lyo, probablement différents des autres peuples au monde, on est opposés à la loi du plus fort. Nos aînés luttaient
pour le pays, en se défendant contre les invasions des étrangers avec bravoure.