Chapitre 1297
Chloé n’avait aucun doute sur Clothilde.
À ses yeux, Clothilde était parfaite sous tous les rapports, donc elle n’a jamais pensé qu’une telle femme pourrait être son ennemi amoureux.
Clément s’est aussi rassuré en ce moment.
Il comptait aller aussitôt à la Cité Y pour rendre visite au père de Clothilde, Bitoric Benett, après la fin du match d’Alina.
L’objet de cette visite, c’était non seulement de régler le problème de ses fiançailles avec Clothilde, mais c’était surtout de guérir le cancer du pancréas de Bitoric.
Bitoric était le meilleur ami du père de Clément. Au fil des ans, il a offert des sacrifices aux parents morts de Clément à chaque occasion de fête et n’a jamais arrêté de
chercher Clément, ce qui solliciterait éternellement la reconnaissance de Clément.
Par conséquent, Clément avait envie de guérir Bitoric de toute façon.
En outre, Clément pensait qu’il pourrait aussi profiter de cette occasion pour demander à Savin plus d’indices et d’informations sur la mort de ses parents.
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtIl fallait pour Clément environ cinq jours pour faire tout ça, et ce n’était pas une période courte. Donc pour ne pas inspirer des doutes de Chloé, la meilleure excuse, c’était
qu’il devait aller à la Cité Y pour aider Clothilde à apprécier le Fengshui. Et c’était encore plus convaincant alors que Chloé l’a entendu de la bouche de Clothilde.
En obtenant l’accord de Chloé, Clothilde a hoché la tête joyeusement et a dit en souriant :
Mme Chloé, je ne m’attendais pas à ce que vous acceptiez en toute simplicité, je craignais toujours que vous ne soyez pas d’accord.
Chloé a dit à la hâte :
– Oh, Mile Clothilde, c’est un grand honneur pour mon mari de vous servir, comment ne serai–je pas d’accord? Mais s’il y a en lui quelque défaut de compétences, j’espère
que vous pourrez faire preuve de compréhension et de tolérance pour lui.
Clothilde a dit en souriant:
Vous exagérez, Mme Chloé ! Je suis persuadé que M. Clément a toutes les compétences, et je crois que mon père et ma famille le pensent aussi. Donc, merci beaucoup pour
votre d’accord!
Chloé a dit en souriant :
-Mile Clothilde, vous êtes très gentille, ce n’est rien.
Mais quand Clément a entendu les demi–mots de Clothilde, il ne pouvait s’empêcher de pousser un profond soupir, impuissant.
Il savait que c’était à la fois pour lui Clothilde parlait et à Chloé elle parlait, et ces mots–ci
équivalaient à une sorte de menace que Clothilde a faite à Chloé devant lui.
Mais malgré ça, Clément ne pouvait rien y faire.
Après tout, c’était lui qui a manqué à ses fiançailles avec Clothilde, et il était trop honteux pour lui reprocher.
De plus, plus gênant encore pour Clément, c’était qu’il ne pouvait pas refuser Clothilde comme il avait fait à Lucile.
À l’égard de Lucile, non seulement Clément ne lui devait rien, mais il lui avait aussi sauvé la vie à plusieurs reprises, donc même s’il l’avait refusée tout net à chaque fois
qu’elle lui déclarait son amour, il ne se sentirait pas du tout coupable.
Mais la situation de Clothilde était tout à fait différente.
En raison de ses fiançailles enfantines avec Clothilde, elle ne cessait de chercher Clément pendant ces dernières années, mais Clément a épousé une autre femme.
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmDonc Clément devait admettre qu’il, que ce soit émotionnellement ou logiquement, avait beaucoup à se reprocher contre elle.
À ce moment, Chloé, qui n’était au courant de rien, a dit à Clothilde en rassemblant tout son
courage:
– Mlle Clothilde, je… puis–je prendre une photo avec vous ?
Clothilde a immédiatement accepté et a dit avec un sourire:
–
OK! On fait la photo maintenant ?
Chloé a hoché la tête à la hâte et a dit :
Oui, si ça vous convient !
Clothilde a hoché la tête, et a pris l’initiative de déplacer sa chaise pour s’approcher un peu plus de Chloé.
–
– Mme Chloé, vous êtes si belle, ça me stresse de prendre la photo avec vous, a dit Clothilde en souriant.
–
Ah non… a dit Chloé timidement, c’est moi qui ai beaucoup de stress hein ! Mlle Clothilde, vous êtres non seulement très belle, mais vous êtres aussi la grande star de notre
pays, moi, je vous suis très inférieure…